Attirer de nouveaux talents qualifiés, composer avec des risques réglementaires accrus et faire face à l’innovation disruptive figurent parmi les principaux risques identifiés par les dirigeants dans un nouveau sondage qui dresse la carte des obstacles majeurs à court et à long terme pour les entreprises d’aujourd’hui.

Parmi les 36 risques macroéconomiques, stratégiques et opérationnels présentés à plus de 1 100 leaders d’entreprises à l’échelle mondiale dans le rapport Executive Perspectives on Top Risks for 2024 and 2034 de Protiviti, tous sauf un des cinq enjeux les plus pressants étaient déjà présents dans le sondage de l’an dernier.

Alors que les perturbations de la chaîne d’approvisionnement, la hausse des coûts de main-d’œuvre et la « résistance au changement dans la culture d’entreprise » étaient au cœur du rapport de 2022, les cinq principaux enjeux pour 2024 sont nettement moins axés sur l’humain.

Cette année, l’incertitude économique et l’impact des technologies arrivent en tête de liste, selon la 12e édition de ce sondage annuel.

« L’économie, l’inflation et la cybersécurité dominent clairement l’agenda des risques pour les dirigeants, mais les meilleurs leaders comprennent que tous ces enjeux sont interreliés et doivent être abordés dans leur ensemble, pas séparément », explique Matt Moore, leader mondial, Risques et conformité chez Protiviti, dans le rapport.

« Les équipes de direction et les conseils d’administration doivent faire preuve d’agilité pour gérer des enjeux stratégiques et opérationnels variés, tout en gardant le rythme du changement. On s’attend à ce que les leaders gèrent efficacement de multiples risques externes, sans perturber les opérations, la productivité ou la rentabilité », poursuit Moore.

Aligner les parties prenantes au sein des unités d’affaires pour affronter les plus grandes menaces

Ce besoin de collaboration entre les départements revient tout au long du rapport, alors que de nouvelles technologies — notamment l’IA — sont adoptées autant discrètement dans certains secteurs qu’avec l’appui de la haute direction.

Même si le rapport présente cette adoption comme un enjeu de cybersécurité comparable à l’informatique fantôme, l’intégration de l’IA en entreprise a aussi des impacts financiers importants à plusieurs niveaux.

D’un côté, avec la pénurie de talents — y compris la récente baisse du nombre de nouveaux comptables sur le marché —, l’IA s’impose comme un outil incontournable pour les CFO, leur permettant de répondre aux exigences de l’entreprise dans un contexte de marché en constante évolution.

Pourtant, selon des études récentes, l’adoption de nouveaux outils pour améliorer la productivité accuse un retard dans le secteur financier : 86 % des CFO s’appuient encore principalement sur des chiffriers pour la planification et l’analyse financières (FP&A). Et ce, malgré la multitude de solutions disponibles pour simplifier ces processus et l’adoption rapide de l’IA dans d’autres secteurs de l’entreprise.

Résultat : les CFO devront « apprendre à collaborer avec leurs partenaires technologiques », affirme Sameer Ansari, leader mondial, sécurité et confidentialité, services-conseils en technologie chez Protiviti, lors d’un panel sur le rapport. Même si cela fait surtout référence aux enjeux de conformité, rapprocher les différents piliers de l’entreprise autour des données et de l’analyse des coûts — tout en adoptant de nouveaux outils — sera essentiel pour assurer la viabilité financière.

Créer un système d’intelligence pour stimuler l’innovation

Comme les CFO citent notamment la pénurie de talents, les conditions économiques et des marges bénéficiaires serrées parmi leurs principales préoccupations à court et à long terme, il devient crucial de déployer des solutions qui permettent à leurs équipes de travailler plus intelligemment et rapidement pour renforcer l’entreprise face à ces vents contraires.

Par exemple, en synchronisant les données clés de la finance, de la paie et des flux de travail dans une plateforme qui relie concrètement les actions aux résultats, les équipes FP&A peuvent gagner en efficacité et en précision, plutôt que de devoir passer des heures à analyser manuellement des chiffriers à l’ancienne.

Cela aide aussi les équipes financières qui manquent de ressources humaines pour effectuer ces analyses — ou qui, idéalement, devraient se concentrer sur la planification stratégique.

Pour ce qui est de composer avec les conditions économiques et des marges bénéficiaires serrées, des solutions comme Boast, qui centralisent les données mentionnées plus haut, sont conçues pour repérer activement les activités admissibles à des crédits d’impôt RS&DE ou à diverses sources de financement non dilutif.

Ces sources de capital deviennent un pilier essentiel de la stratégie de financement de nombreuses équipes — surtout pour les startups en début de parcours — lorsque les investissements externes se font rares ou que les entreprises pré-revenus cherchent à prolonger leur développement de produit.

Chez Boast, nous offrons aux entreprises une solution complète qui combine technologie de pointe et accompagnement d’experts pour optimiser vos efforts en R&D, simplifier la gestion du capital et visualiser une stratégie de financement gagnante. Par exemple, des fonctionnalités comme notre nouveau Classificateur IA génèrent des rapports et des sommaires détaillés qui accélèrent et facilitent grandement votre processus de réclamation de crédits d’impôt RS&DE.

En offrant une plateforme tout-en-un pour comprendre à la fois l’admissibilité de vos réclamations et l’état réel de votre R&D, Boast permet à tous les intervenants de l’entreprise de mieux s’aligner et de bâtir des stratégies plus efficaces pour relever leurs défis d’affaires les plus urgents.

C’est l’une des nombreuses fonctionnalités révolutionnaires intégrées à la plateforme Boast pour aider les leaders financiers à simplifier leurs processus, maximiser leur accès au capital essentiel pour soutenir leur croissance et obtenir des insights concrets pour l’ensemble de l’organisation.

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